Ca fait longtemps que je n'ai pas pu poster du fait que mon opérateur internet veut pas venir régler la panne chez nous, alors maintenant que j'ai accès à internet, je vais essayer de me remettre dans le bain en balançant une petite série, comme ça quoi.
Witchblade raconte l'histoire d'une femme, Amasa Masane, et de sa fille, Rihoko, qui vivent de petits boulots et voyagent beaucoup, nottament pour échapper au gouvenrment qui veut retirer la garde de Rihoko, sous prétexte que sa mère ne représente pas un "environnement sain pour son développement."
C'est dans cet état d'esprit que les deux filles arrivent à Tokyo, pour plonger tête la première dans la gueule du loup. Contrainte de laisser sa fille derrière elle, Masane repart emplie de regrets, et fini au poste de police après avoir pété un plomb.
Seulement voilà, sans même le savoir, Masane n'est pas normale. En elle sommeille la Witchblade, une arme maléfique qui confère à la femme qui le détient une force énorme et une envie maldive de se battre.
L'apparition des X-cons, machines de combat fabriquées à partir de restes humains, va entraîner le réveil de cette arme démoniaque.
Mais les circonstances feront que Masane trouvera un travail et récupèrera sa fille... temporairement tout du moins.
La voilà bien malgré elle forcée de se battre contre les X-cons, tout en protégeant sa fille, et en essayant de comprendre pourquoi la Witchblade l'a choisit elle, et ce que l'avenir lui réserve comme surprises, qu'elles soient bonnes... ou très mauvaises.
Graphiquement parlant, Witchblade est un très bon animé, fluide, bien fait, un character design simple et pourtant une multitude de caractéristiques visibles pour chaque personnage... en clair, la qualité est au rendez-vous.
24 épisodes de combats et de découvertes, qui s'enchaînent à la façon d'un mauvais rêve: une catastrophe à la fois. Néanmoins, le scénario à l'avantage de suivre un fil conducteur défini très tôt dans l'histoire ce qui donne l'opportunité d'apprécier dans leur totalité les imprévus multiples qui rythment la série.
Le scénario viendrait d'une histoire de BD américaine de type Marvel, à la base, je n'ai pas enquêté là-desus mais il semblerait que cette fois, ce soit une repompe d'une idée des USA. Mais une chose est sûre, le Witchblade nippon est cent fois mieux. En amérique, Witchblade correspond à une série de niveau B ( même pas ), racontant les histoires d'une femme flics, possédée par la witchblade, qui se bat contre des ripoux.....
un polar avec une sorcière et une organisation qui veut la contrôler, point à la ligne circulez ya rien à voir.
Récemment sur Sci Fi, la chaîne de SF par excellence, une série adaptée de la version américaine défile à un horaire acceptable... je me suis forcé à voir les quatre premiers épisodes....j'en regarderais plus jamais...
Witchblade ( nippon, pour revenir à ce qui vaut quelquechose ), est au final une série rondement menée, sans trop de détails scénaristiques mais suffisamment intense pour avoir envie de s'y plonger, les graphismes poussés pendant les combats et la vitesse de l'action donnent l'impression que tout se passe en un éclair, et le cadre, la ville de tokyo ravagée par un séisme, n'est en aucun cas une limite à l'histoire.
Mon avis, très bon anime.
Petit détail quand même, quand j'ai vu l'intro pour la première fois, je n'ai pas eu du tout envie de voir la suite... ça me paraissait trop sombre, mais j'ai vite remis les choses à leur place, et ce dès la fin du premier épisode.
Witchblade raconte l'histoire d'une femme, Amasa Masane, et de sa fille, Rihoko, qui vivent de petits boulots et voyagent beaucoup, nottament pour échapper au gouvenrment qui veut retirer la garde de Rihoko, sous prétexte que sa mère ne représente pas un "environnement sain pour son développement."
C'est dans cet état d'esprit que les deux filles arrivent à Tokyo, pour plonger tête la première dans la gueule du loup. Contrainte de laisser sa fille derrière elle, Masane repart emplie de regrets, et fini au poste de police après avoir pété un plomb.
Seulement voilà, sans même le savoir, Masane n'est pas normale. En elle sommeille la Witchblade, une arme maléfique qui confère à la femme qui le détient une force énorme et une envie maldive de se battre.
L'apparition des X-cons, machines de combat fabriquées à partir de restes humains, va entraîner le réveil de cette arme démoniaque.
Mais les circonstances feront que Masane trouvera un travail et récupèrera sa fille... temporairement tout du moins.
La voilà bien malgré elle forcée de se battre contre les X-cons, tout en protégeant sa fille, et en essayant de comprendre pourquoi la Witchblade l'a choisit elle, et ce que l'avenir lui réserve comme surprises, qu'elles soient bonnes... ou très mauvaises.
Graphiquement parlant, Witchblade est un très bon animé, fluide, bien fait, un character design simple et pourtant une multitude de caractéristiques visibles pour chaque personnage... en clair, la qualité est au rendez-vous.
24 épisodes de combats et de découvertes, qui s'enchaînent à la façon d'un mauvais rêve: une catastrophe à la fois. Néanmoins, le scénario à l'avantage de suivre un fil conducteur défini très tôt dans l'histoire ce qui donne l'opportunité d'apprécier dans leur totalité les imprévus multiples qui rythment la série.
Le scénario viendrait d'une histoire de BD américaine de type Marvel, à la base, je n'ai pas enquêté là-desus mais il semblerait que cette fois, ce soit une repompe d'une idée des USA. Mais une chose est sûre, le Witchblade nippon est cent fois mieux. En amérique, Witchblade correspond à une série de niveau B ( même pas ), racontant les histoires d'une femme flics, possédée par la witchblade, qui se bat contre des ripoux.....
un polar avec une sorcière et une organisation qui veut la contrôler, point à la ligne circulez ya rien à voir.
Récemment sur Sci Fi, la chaîne de SF par excellence, une série adaptée de la version américaine défile à un horaire acceptable... je me suis forcé à voir les quatre premiers épisodes....j'en regarderais plus jamais...
Witchblade ( nippon, pour revenir à ce qui vaut quelquechose ), est au final une série rondement menée, sans trop de détails scénaristiques mais suffisamment intense pour avoir envie de s'y plonger, les graphismes poussés pendant les combats et la vitesse de l'action donnent l'impression que tout se passe en un éclair, et le cadre, la ville de tokyo ravagée par un séisme, n'est en aucun cas une limite à l'histoire.
Mon avis, très bon anime.
Petit détail quand même, quand j'ai vu l'intro pour la première fois, je n'ai pas eu du tout envie de voir la suite... ça me paraissait trop sombre, mais j'ai vite remis les choses à leur place, et ce dès la fin du premier épisode.